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Si l’humour et l’excès sont toujours présents, Marguerite  les accompagne d’une revendication d’élégance qui trouve son origine dans l’imagerie des années 50 à 7O. Elle revisite le vocabulaire vestimentaire de ces époques et le décline à sa manière. Marguerite nous transporte dans des histoires sans parole, des saynètes qui font échos à des souvenirs ou des impressions familières semblant surfer sur une « joyeuse nostalgie ».

©Lefebvre/Tran

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